Un résultat qui pourrait engendrer un changement de paradigme après des décennies de consensus des « partis de gouvernement » allant d'alliance de la droite aux écologistes.
Alors que Strasbourg semblait jusque-là épargnée des mouvements à l'œuvre au sein des nations de l'Union européenne, les extrêmes droites se paieront même le luxe d'avoir des divergences internes.
En effet, le groupe ECR, héritage politique européen du conservatisme britannique, défend l'entreprise, le soutien sans réserve à l'Ukraine, quand ID, d'inspiration populiste, affiche un positionnement plus étatiste et hostile à l'Otan.