Parmi les personnes visées figurent notamment les Russes Iouri Beliakov, Viatcheslav Vidanov et Zahrab Guirat, ce dernier possédant également la nationalité afghane, ainsi que des entreprises telles qu’« Edison », « Kolibri Group » et « Sky Frame ».
Le Département a précisé que tous les noms ajoutés à la liste ont été classés dans la catégorie « SDGT », dédiée à la lutte contre le terrorisme, ce qui suggère que les États-Unis considèrent ces individus et entités comme une menace sécuritaire.
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Parallèlement, dans une démarche inverse, le Trésor a levé les sanctions imposées à Karina Rotenberg, liée à l’homme d’affaires russe influent Boris Rotenberg, sans fournir de détails supplémentaires sur les raisons de cette décision.
De son côté, la Russie a réitéré sa capacité à résister aux pressions des sanctions imposées par des pays qu’elle qualifie de « non amicaux » depuis des années, pressions qui ne cessent de s’intensifier.
Dans le même temps, des voix en Occident commencent à s’élever pour remettre en question l’efficacité de ces mesures, soulignant qu’elles n’ont pas atteint les objectifs escomptés pour freiner Moscou.
Dans ce contexte, le président russe Vladimir Poutine a déclaré que la politique d’endiguement et d’affaiblissement de son pays constituait une stratégie à long terme de ses adversaires, tout en avertissant que les sanctions n’ont pas seulement affecté la Russie, mais ont causé des dommages considérables à l’économie mondiale dans son ensemble.
