Lamert a confirmé que ces navires n'incluent aucun pétrolier bulgare, les sanctions visant principalement les navires utilisés pour le transport de pétrole et de méthane.
Il convient de noter que les sanctions précédentes imposées par l'Union européenne en décembre dernier ciblaient 52 navires appartenant à des pays tiers, qui étaient utilisés pour contourner les restrictions imposées à la Russie.
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Cette mesure s'inscrit dans le cadre des efforts de Bruxelles pour accroître la pression économique sur Moscou.
Dans un contexte connexe, des rapports indiquent que les opérations d'expédition et de commerce du pétrole russe rencontrent des difficultés, notamment en Asie, où un écart de prix est apparu entre les acheteurs et les vendeurs en Chine.
Cela est en partie dû à l'augmentation des coûts de location des pétroliers qui n'ont pas été soumis aux sanctions américaines, ce qui a entraîné une hausse des prix d'expédition du pétrole russe.
Des négociants ont également signalé que les offres pour le mélange "Brent ESPO" russe exporté vers la Chine avaient considérablement augmenté, avec des primes atteignant entre trois et cinq dollars le baril au-dessus du Brent.
Cette hausse est le résultat d'une forte demande en hiver et d'une augmentation des prix des matières premières concurrentes.
En Inde, la société "Bharat Petroleum" a exprimé son inquiétude face à l'absence d'offres nouvelles pour des livraisons en mars, ce qui indique une baisse potentielle du nombre de cargaisons proposées.
Ces développements continuent d'affirmer l'impact des sanctions occidentales sur le marché pétrolier mondial et mettent en lumière les défis auxquels fait face l'économie russe face à une pression internationale croissante.
