Le ministre Feldkamp a déclaré : "Nous suivrons les instructions. Si Netanyahou ou Galant atterrissent, ils seront arrêtés."
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Plus tôt dans la journée, le procureur de la Cour pénale internationale, Karim Khan, a émis des mandats d'arrêt contre Netanyahou et Galant pour des accusations de "crimes contre l'humanité" dans la bande de Gaza.
Pour sa part, le bureau du Premier ministre israélien a confirmé son refus des mandats d'arrêt, accusant la Cour d'être une "institution politique biaisée et discriminatoire".
Dans un communiqué émis par le bureau du Premier ministre, il est indiqué : "Israël rejette avec dégoût les procédures et les accusations ridicules et mensongères portées contre elle par la Cour pénale internationale."
Le communiqué souligne également que "la décision antisémite prise par la Cour équivaut à un procès Dreyfus moderne".
Les dirigeants israéliens ont qualifié les mandats de la Cour pénale internationale de récompense pour les organisations armées et d'exemple d'antisémitisme, certains appelant à y répondre en imposant la souveraineté sur la Cisjordanie.