Ces déclarations interviennent après que le Premier ministre israélien, Benjamin Netanyahou, a déclaré que l'accord ne signifie pas la fin de la guerre et pourrait être de courte durée en cas de violations.
Moussa a expliqué dans des déclarations à la chaîne LBCI que le renforcement de l'armée libanaise est crucial en fonction de la mission qui lui est assignée par l'accord, soulignant que la responsabilité incombe désormais à l'État libanais.
Il a également appelé toutes les forces politiques à proposer des noms pour procéder à l'élection du président de la République.
L'ambassadeur égyptien a confirmé que le comité quintette concernant le Liban, qui comprend l'Égypte, l'Arabie saoudite, le Qatar, la France et les États-Unis, ne discute pas avec le président du Parlement Nabih Berri ou avec quiconque d'autre concernant les noms des candidats.
Il a ajouté que tout nom bénéficiant d'un consensus recevra le soutien nécessaire, en insistant sur l'importance d'élire un président soutenu par les Libanais.
Moussa a également souligné que les pays donateurs et les organisations internationales ne s'engageront pas dans la reconstruction du Liban tant qu'il n'y aura pas de président et d'un gouvernement disposant de pleins pouvoirs.
Plus tôt dans la journée, le président du Parlement libanais a fixé une session pour élire un président de la République au 9 janvier prochain, après une vacance présidentielle qui dure depuis deux ans.
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