« Nous examinerons la question lors de la session plénière de mardi », a-t-il déclaré, soulignant l’importance de cette étape pour renforcer les relations entre les deux pays.
Volodine avait auparavant indiqué que l’accord, signé par les présidents russe Vladimir Poutine et iranien Massoud Pezeshkian, contribuera à approfondir la coopération bilatérale et à coordonner les positions sur les questions internationales.
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Il a précisé que le document accorde une attention particulière au développement de la coopération parlementaire internationale, notamment au sein des organisations parlementaires internationales et du comité de coopération entre la Douma et le Conseil consultatif islamique d’Iran.
Le traité de partenariat stratégique global a été signé le 17 janvier dernier dans la capitale russe, Moscou, dans le but de remplacer l’accord précédent, conclu en 2001, qui établissait les bases des relations et les principes de coopération entre les deux nations.
Selon le Kremlin, ce nouveau document reflète une élévation des relations bilatérales à un niveau plus élevé et plus global.
De son côté, le ministre russe des Affaires étrangères, Sergueï Lavrov, a affirmé que ce traité n’est dirigé contre aucun pays, mais revêt un caractère constructif visant à renforcer les capacités de la Russie et de l’Iran à l’échelle mondiale.
Il a ajouté qu’il cherche à développer l’économie, à résoudre les problèmes sociaux et à garantir de manière fiable les capacités de défense, traduisant ainsi une vision commune pour le développement et la stabilité.
Cette démarche s’inscrit dans le cadre du renforcement de l’alliance entre Moscou et Téhéran, les deux pays cherchant à faire face aux défis internationaux à travers un partenariat stratégique basé sur des intérêts communs et une coopération multidimensionnelle.