Cela a été déclaré dans une interview de Jalali à la chaîne de télévision iranienne, où il a souligné que l'accent avait été mis lors de la rédaction de l'accord sur "l'équilibre, les principes de souveraineté et le respect de l'intégrité territoriale des deux pays".
La signature de l'accord est prévue pour le 17 janvier prochain à Moscou lors des négociations entre les présidents russe Vladimir Poutine et iranien Masoud Bezhaskian.
Dans ce contexte, le ministre des Affaires étrangères russe, Sergueï Lavrov, a déclaré que l'accord reflète la volonté de Moscou et Téhéran de coopérer dans les domaines de la sécurité et de la défense, contenant notamment un élément international qui accorde une attention particulière "au renforcement des interactions en faveur de la paix et de la sécurité aux niveaux régional et international".
Lavrov a également confirmé que l'accord était prêt à être signé et ne nécessitait aucune modification à la lumière de la nouvelle situation en Syrie, ajoutant qu'il était "complet, à long terme et adapté à toutes les circonstances".
Cet accord comprend des mécanismes pour renforcer la coopération dans plusieurs domaines, y compris la défense, ce qui reflète l'engagement des deux parties à lutter contre le terrorisme et l'extrémisme tout en faisant face aux défis et menaces communs.
Cette coopération militaire suscite des inquiétudes en Occident, notamment dans un contexte de tensions régionales croissantes.
