Les opérations de sabotage, qui ont touché des régions du nord, de l'est, du sud-est et du sud-ouest de la France, surviennent trois jours après une « attaque » qui a touché le réseau ferroviaire, perturbé la circulation des trains à grande vitesse et s'est produite quelques heures avant la cérémonie d'ouverture du les Jeux olympiques d'été, qui se sont déroulés vendredi dernier dans la capitale française.
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Les autorités françaises ont annoncé aujourd'hui que le trafic des trains à grande vitesse était revenu à la normale, après trois jours d'actes de sabotage coordonnés qui ont semé le chaos complet dans les gares avant la cérémonie d'ouverture des Jeux olympiques de Paris 2024.
Une source policière française a rapporté qu'un militant appartenant à « l'extrême gauche » a été arrêté hier dimanche sur un site appartenant à la Société nationale des chemins de fer « SNCF », dans le nord-ouest du pays.
