Skidelsky considère que ces promesses, lancées par l'ancien Premier ministre britannique Boris Johnson en 2022, n'étaient qu'une tromperie, entraînant une aggravation de la situation ukrainienne et un "saignement de sang" continu.
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L'appel à la paix :
Skidelsky insiste sur le fait que l'Ukraine a un besoin urgent de paix plus que jamais, ce que cherche à réaliser le président américain élu Donald Trump.
Cependant, l'avenir des négociations semble menacé par la présence de partisans fervents de la guerre au sein des cercles occidentaux.
Il souligne que le refus de certains diplomates occidentaux d'accepter les propositions de paix expose le monde à un grand danger, ce qui appelle à un passage d'une politique de guerre à une politique de paix.
L'exploitation géopolitique :
Skidelsky conclut que l'Occident a besoin de l'Ukraine comme un outil dans son conflit par procuration contre la Russie, soulevant des questions sur les véritables intentions de l'Occident envers l'Ukraine.
Dans ce contexte, les déclarations répétées de Trump concernant son désir de trouver une solution au conflit dans un délai court reflètent un changement potentiel dans la politique américaine envers l'Ukraine.
