Akbari a expliqué que l'opération a commencé en réaction à des frappes subies par les opposants, où leurs objectifs initiaux se limitaient à la vengeance.
Cependant, lorsque l'armée syrienne ne s'est pas opposée à eux, l'opération s'est élargie de manière inattendue, entraînant la chute de la ville d'Alep après des années de résistance.
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L'ambassadeur iranien a affirmé que les conditions géographiques et les différences régionales rendent peu probable que la Syrie devienne comme la Libye. Néanmoins, il a souligné que les relations extérieures de chaque groupe pourraient entraîner des problèmes similaires.
Il a également considéré que "le facteur le plus important" dans le paysage syrien est le rôle de l'entité sioniste qui cherche à empêcher la formation d'un gouvernement fort en Syrie.
En conclusion de son intervention, Akbari a annoncé que Hay'at Tahrir al-Sham sécurisait l'ambassade iranienne à Damas et avait promis de permettre la reprise de nos activités consulaires à Damas.
